Il est de bon ton, de nos jours, de critiquer un peu vainement et de manière caricaturale le cinéma français, pour certains noyé irrémédiablement dans la comédie bas-de-gamme. Pourtant, à l’image de Desplechin ou d’Amalric, il est des réalisateurs français qui échappent encore et toujours à ce stéréotype. C’est le cas de François Ozon. Dans Lire +…