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Step Up: High Water, la série adaptée des films

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Nouveau chapitre pour Step Up et ses 5 films, la série High Water a conquis plus de 20 millions de spectateurs.

14.8 MILLIONS ! C’est un chiffre assez fou que le premier épisode de la série High Water a réussi à atteindre depuis 6 mois. Si on ajoute les 9.5 millions de vues de l’épisode en version non censurée (des shits et fucks), ce sont pas loin de 25 millions de personnes qui ont tenté la série Step Up: High Water !

Arrivée sur Youtube Premium en janvier, la série n’a pas fait grand bruit. Comme les 5 films Step up, Sexy Dance en France, High Water s’intéresse au destin de jeunes passionnés par la danse, exutoire face à de nombreux problèmes.

A la tête d’une prestigieuse école d’arts d’Atlanta, Sage Odom et son équipe de professeurs forment une nouvelle génération d’artistes. Fraîchement débarqués de leur Ohio natal, les jumeaux Tal et Janelle espèrent réaliser leurs rêves en excellant sur la piste de danse. Sauront-ils saisir leur chance ?

L’efficacité de la saga Step Up vient du savoir-faire des réalisateurs pour sublimer les morceaux de danse. On avait connu Chaning Tatum (et lui avait connu sa femme Jenna sur ce premier film et les deux produisent la série) dans Sexy Dance en 2006, mais on avait surtout retenu que le film de danse répondait à un cahier des charges très simple, rigide et nullement honteux. A l’instar des films précédents, High Water ne fait pas dans l’inédit. Des jeunes issus d’un milieu social difficile, un talent inné pour la danse, une concurrence sévère, une histoire d’amour et des séquences de danse affolantes sont les ingrédients de l’histoire. Et ce n’est pas pour l’histoire que l’on vient en premier.

Chaque film avait des scènes de dance très bien fichues et l’apport de la 3D rendait le tout plutôt jouissif. High Water est un cran en dessous pour le moment, simplement parce que la série ne se veut pas spectaculaire mais plutôt narrative avec un « suspens » croissant. La série nous plonge dans l’ambiance sombre d’Atlanta et ses coups bas. La bonne idée est de proposer une école de dance plutôt que des battles de troupes. Simplement, la série s’enfonce dans les gimmicks des ghettos avec le petit jeune trop sûr de lui, les bandes rivales, la « mafia » du coin et autres attitudes machistes des pires fantasmes de communauté black. Les hommes regardent les femmes comme des bouts de viande, le flingue est montré pour souligner la maîtrise de la situation et pire encore, la loi de la rue écrase toute tentative de proposer des drames un peu soignés.

Step Up: High Water rejoint Hit The Floor, série totalement oubliée sur des pom-pom girls, dans la liste des séries sans aucune prétention si ce n’est de rendre justice à cet art visuel qu’est la danse. Peu surprenante, la série opère tout de même un beau rebondissement en fin d’épisode 2 qui redistribue les cartes et permet à la série d’assurer une certaine longévité.

Step up: High Water est disponible sur Youtube Premium, les 4 premiers épisodes sur les 10 sont gratuits.

 

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Tom Witwicky

Créateur de SmallThings, 1er Geek Picard de la planète Exilé dans le 92

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