Critiques de livres

One Piece T1 : La malédiction de l’épée sacrée

Le célèbrissime One Piece, que nous ne présentons plus, est l’œuvre d’Eiichiro Oda, pré publiée en magazines depuis 1997 au Japon. Du coup, le merchandising a suivi, avec des produits dérivés et des films tirés de l’histoire, mais indépendantes de celle parue en manga. Près de 12 longs-métrages basés sur One Piece ont été diffusés au Pays du Soleil Levant. One Piece, la malédiction de l’épée sacrée, a été concocté très tôt, puisqu’il date de 2004 ! Il arrive enfin sous nos latitudes sous forme papier, onze ans plus tard, aux éditions Glénat.

one-piece-maledictionOne Piece est sans conteste le Roi des Mangas, en plus d’être le Roi des Pirates. En particulier pour sa longévité exceptionnelle. Au pays du Soleil Levant, nos héros pirates comptabilisent pas moins de… 78 volumes de manga à ce jour. Ça en fait de la lecture ! Ça en fait des aventures ! Mais le tome 1 de One Piece, La malédiction de l’épée sacrée, ne reprend pas le manga en cours. Il s’agit juste une histoire parallèle, qui met en scène tous les personnages de la série. Nous retrouvons le héros Monkey D. Luffy ainsi que tous ses amis : Nami qui chasse les trésors, Sanji le cuisinier séducteur, Nico Robin, l’archéologue mystérieuse, Usopp, Zorro le combattant à trois sabres (à ne pas confondre avec son homonyme masqué) et Chopper, le mignon petit renne mascotte de la série.

L’histoire de ce tome de One Piece commence avec l’apparition d’un ami d’enfance de Zorro, lui demandant de lui venir en aide. Bon prétexte pour commencer une histoire ! Notre équipe de héros atterrit bien malgré elle sur l’île Asuka, dont ils devront libérer les habitants de la malédiction de l’épée aux sept étoiles. Maya, une jeune prêtresse, veut sauver Saga (un clin d’oeil à la « saga One Piece » ?) qui risque d’être victime de cette malédiction. Le tout est frais, drôle, et léger. Le scénario peut paraître simple, mais pas simpliste, et on passe un bon moment en le lisant. Un bon divertissement qui plaira aux petits, comme aux grands. La fin du premier tome se finit sur le cliffhanger d’usage. Simple mais efficace ! N’attendez pas plus et foncez le lire ! Retour en enfance garanti ! La suite dans la critique du tome 2 !

Rebecca

Juste une Otaku qui a chopé le virus de la Japanimation et qui ne guérira jamais ! Egalement incurable en ce qui concerne le cinéma, les blockbusters, les comics et la littérature

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